Déités approximatives.
Sur les dalles blanches de Sarakiniko, fourmillent des humains ivres de soleil. Avec leurs accessoires de plage et quelques postures hiératiques, ils s’idolâtrent dans cet Olympe de pacotille. Leurs regards à l’horizon rêvent d’infini et d’éternité. Les migrants sont très, très loin, pourtant si près d’ici dans cet entre deux des rivages cycladiques.